« Souvenons-nous que nous ne sommes pas demain ; nous ne sommes pas dans l’”entre-temps”, mais c’est l’heure de Dieu », a lancé le pape aux jeunes du monde entier, au terme de la 34e Journée mondiale de la jeunesse, à Panama, ce 27 janvier 2019.
Paroles conclusives du pape :
A la fin de cette célébration, je rends grâce à Dieu de nous avoir donné la possibilité de partager ces journées et de vivre de nouveau ces Journées Mondiales de la Jeunesse.
En particulier, je désire remercier Monsieur Juan Carlos Varela Rodríguez, Président de Panama pour sa présence à cette célébration, comme aussi celle de Présidents d’autres nations ainsi que celle des autres Autorités politiques et civiles.
Je remercie Mgr José Domingo Ulloa Mendieta, Archevêque de Panama, pour sa disponibilité et pour avoir bien fait en sorte d’accueillir dans son diocèse ces Journées, comme aussi les autres évêques de ce pays et des pays voisins pour tout ce qu’ils ont fait dans leurs communautés pour héberger et aider tant de jeunes.
Merci à toutes les personnes qui nous ont soutenus par leur prière et qui ont collaboré par leurs efforts et leur travail pour réaliser ce rêve des JMJ dans ce pays.
Et à vous, chers jeunes, un grand merci. Votre foi et votre joie on fait vibrer à Panama, en Amérique et dans le monde entier. Comme nous l’avons entendu de nombreuses fois tous ces jours dans l’hymne de ces JMJ : « Nous sommes des pèlerins qui venons ici de continents et de villes ».
Nous sommes en chemin, continuant à marcher, continuant à vivre la foi et à la partager. Souvenons-nous que nous ne sommes pas demain ; nous ne sommes pas dans l’”entre-temps”, mais c’est l’heure de Dieu.
Le lieu des prochaines Journées Mondiales de la Jeunesse a déjà été annoncé. Je vous demande de ne pas laisser refroidir ce que vous avez vécu ces jours-ci. Retournez dans vos paroisses et vos communautés, dans vos familles et vers vos amis et transmettez cette expérience pour que d’autres puissent vibrer de cette force et de cet espoir que vous avez. Avec Marie, continuez de dire “oui” au rêve que Dieu a semé en vous.
Et, s’il vous plait, n’oubliez pas de prier pour moi