CHAPITRE 9
Le discernement
278. Sur le discernement en général, je me suis déjà arrêté dans l’Exhortation apostolique Gaudete et exsultate. Permettez-moi de reprendre certaines de ces réflexions, en les appliquant au discernement de sa propre vocation dans le monde.
279. Je rappelle que tout le monde, mais « spécialement les jeunes, sont exposés à un zapping constant. Il est possible de naviguer sur deux ou trois écrans simultanément et d’interagir en même temps sur différents lieux virtuels. Sans la sagesse du discernement, nous pouvons devenir facilement des marionnettes à la merci des tendances du moment ».[152] Et « cela devient particulièrement important quand apparaît une nouveauté dans notre vie et qu’il faudrait alors discerner pour savoir s’il s’agit du vin nouveau de Dieu ou bien d’une nouveauté trompeuse de l’esprit du monde ou de l’esprit du diable».[153]
280. Ce discernement, « bien qu’il inclue la raison et la prudence, il les dépasse parce qu’il s’agit d’entrevoir le mystère du projet unique et inimitable que Dieu a pour chacun […] Ce qui est en jeu, c’est le sens de ma vie devant le Père qui me connaît et qui m’aime, le vrai sens de mon existence que personne ne connaît mieux que lui ».[154]
281. Dans ce cadre, se situe la formation de la conscience qui permet au discernement de grandir en profondeur et dans la fidélité à Dieu. « Former la conscience est le cheminement de toute la vie, où l’on apprend à nourrir les mêmes sentiments que Jésus-Christ, en adoptant les critères de ses choix et les intentions de son action (cf. Ph 2, 5) ».[155]
282. Cette formation implique de se laisser transformer par le Christ, et elle est en même temps « une pratique habituelle du bien, vérifiée dans l’examen de conscience : un exercice où il ne s’agit pas seulement d’identifier ses péchés, mais aussi de reconnaître l’œuvre de Dieu dans sa propre expérience quotidienne, dans les événements de l’histoire et des cultures au sein desquelles nous vivons, dans le témoignage de tant d’hommes et de femmes qui nous ont précédés ou qui nous accompagnent par leur sagesse. Tout cela aide à grandir dans la vertu de prudence, en articulant l’orientation globale de l’existence avec les choix concrets, avec une lucidité sereine de ses dons et de ses limites ».[156]
Comment discerner ta vocation
283. Une expression du discernement est l’engagement pour reconnaître sa propre vocation. C’est une tâche qui requiert des espaces de solitude et de silence, parce qu’il s’agit d’une décision très personnelle que d’autres ne peuvent pas prendre pour quelqu’un : « Même si le Seigneur nous parle de manières variées, dans notre travail, à travers les autres et à tout moment, il n’est pas possible de se passer du silence de la prière attentive pour mieux percevoir ce langage, pour interpréter la signification réelle des inspirations que nous croyons recevoir, pour apaiser les angoisses et recomposer l’ensemble de l’existence personnelle à la lumière de Dieu ».[157]
284. Ce silence n’est pas une forme d’isolement, car « il faut rappeler que le discernement priant doit trouver son origine dans la disponibilité à écouter le Seigneur, les autres, la réalité même qui nous interpelle toujours de manière nouvelle. Seul celui qui est disposé à écouter possède la liberté pour renoncer à son propre point de vue partiel ou insuffisant […]. De la sorte, il est vraiment disponible pour accueillir un appel qui brise ses sécurités mais qui le conduit à une vie meilleure, car il ne suffit pas que tout aille bien, que tout soit tranquille. Dieu pourrait être en train de nous offrir quelque chose de plus, et à cause de notre distraction dans la commodité, nous ne nous en rendons pas compte ».[158]
285. Quand il s’agit de discerner sa propre vocation, il est nécessaire de se poser plusieurs questions. Il ne faut pas commencer par se demander où l’on pourrait gagner le plus d’argent, ou bien où l’on pourrait obtenir le plus de notoriété et de prestige social, ni commencer par se demander quelles tâches donneraient plus de plaisir à quelqu’un. Pour ne pas se tromper, il faut commencer d’un autre lieu, et se demander: Est-ce que je me connais moi-même, au-delà des apparences et de mes sensations ?; est-ce-que je sais ce qui rend mon cœur heureux ou triste ?; quelles sont mes forces et mes faiblesses ? Immédiatement suivent d’autres questions : comment puis-je servir au mieux et être plus utile au monde et à l’Eglise ?; quelle est ma place sur cette terre ?; qu’est-ce que je pourrais offrir à la société?; puis d’autres suivent très réalistes: est-ce que j’ai les capacités nécessaires pour assurer ce service ?; ou est-ce que je pourrais développer les capacités nécessaires ?
286. Ces questions doivent se situer non pas tant en rapport avec soi-même et ses inclinations, mais en rapport avec les autres, face à eux, de manière à ce que le discernement pose sa propre vie en référence aux autres. Pour cela, je veux rappeler quelle est la grande question : “Tant de fois, dans la vie, nous perdons du temps à nous demander : « Mais qui suis-je ? ». Mais tu peux te demander qui tu es et passer toute la vie en cherchant qui tu es. Demande-toi plutôt : « Pour qui suis-je ? »”.[159] Tu es pour Dieu, sans aucun doute. Mais il a voulu que tu sois aussi pour les autres, et il a mis en toi beaucoup de qualités, des inclinations, des dons et des charismes qui ne sont pas pour toi, mais pour les autres.
L’appel de l’Ami
287. Pour discerner sa propre vocation, il faut reconnaître que cette vocation est l’appel d’un ami : Jésus. A ses amis, si on leur offre quelque chose, on leur offre le meilleur. Et ce meilleur n’est pas nécessairement la chose la plus coûteuse ou la plus difficile à obtenir, mais celle dont on sait qu’elle donnera de la joie à l’autre. Un ami perçoit cela avec tant de clarté qu’il peut visualiser dans son imagination le sourire de son ami quand il ouvre son cadeau. Ce discernement d’amitié est ce que je propose aux jeunes comme modèle s’ils cherchent à trouver quelle est la volonté de Dieu pour leur vie.
288. Je voudrais qu’ils sachent que lorsque le Seigneur pense à chacun, dans ce qu’il souhaiterait lui offrir, il pense à lui comme à son ami personnel. Et s’il a prévu de t’offrir une grâce, un charisme qui te fera vivre ta vie à plein et te transformera en une personne utile pour les autres, en quelqu’un qui laissera une trace dans l’histoire, ce sera sûrement quelque chose qui te réjouira au plus profond de toi et qui t’enthousiasmera plus que toute chose au monde. Non pas parce qu’il va te donner un charisme extraordinaire ou rare, mais parce qu’il sera juste à ta mesure, à la mesure de ta vie entière.
289. Le don de la vocation sera sans aucun doute un don exigeant. Les dons de Dieu sont interactifs et pour en profiter tu dois mettre beaucoup en jeu, tu dois risquer. Mais ce ne sera pas l’exigence d’un devoir imposé par un autre de l’extérieur, mais quelque chose qui te stimulera à grandir et à choisir que ce don mûrisse et devienne un don pour les autres. Quand le Seigneur suscite une vocation, il ne pense pas seulement à ce que tu es, mais à tout ce que tu pourras parvenir à être avec lui et avec les autres.
290. La puissance de la vie et la force de sa propre personnalité se nourrissent mutuellement à l’intérieur de chaque jeune et le poussent à aller au-delà de toutes limites. L’inexpérience permet que cela arrive, même si rapidement cela se transforme en expérience, très souvent douloureuse. Il est important de mettre en contact ce désir de « l’infini du commencement pas encore mis à l’épreuve »[160] avec l’amitié inconditionnelle que nous offre Jésus. Avant toute loi et tout devoir, ce que Jésus nous propose pour choisir est le fait de suivre, comme le font des amis qui se suivent et se cherchent et se trouvent par pure amitié. Tout le reste vient après, et même les échecs de la vie peuvent être une expérience inestimable de cette amitié qui jamais ne se brise.
Ecoute et accompagnement
291. Il y a des prêtres, des religieux, des religieuses, des laïcs, des professionnels, et même des jeunes formés, qui peuvent accompagner les jeunes dans leur discernement vocationnel. Quand il nous incombe d’aider l’autre à discerner le chemin de sa vie, la première chose est d’écouter. Et cette écoute suppose trois sensibilités ou attentions distinctes et complémentaires:
292. La première sensibilité ou attention est à la personne. Il s’agit d’écouter l’autre qui se donne lui-même à nous dans ses paroles. Le signe de cette écoute est le temps que je consacre à l’autre. Ce n’est pas une question de quantité, mais que l’autre sente que mon temps est à lui: celui dont il a besoin pour m’exprimer ce qu’il veut. Il doit sentir que je l’écoute inconditionnellement, sans m’offenser, sans me scandaliser, sans m’ennuyer, sans me fatiguer. Cette écoute est celle que le Seigneur exerce quand il se met à marcher à côté des disciples d’Emmaüs et qu’il les accompagne un long moment par un chemin qui allait dans la direction opposée à la bonne direction (cf. Lc 24, 13-35). Quand Jésus fait le mouvement d’aller de l’avant parce qu’ils sont arrivés à leur maison, là ils comprennent qu’il leur a offert son temps, et alors ils lui offrent le leur, en lui donnant l’hébergement. Cette écoute attentive et désintéressée indique la valeur que l’autre personne a pour nous, au-delà de ses idées et de ses choix de vie.
293. La seconde sensibilité ou attention est celle de discerner. Il s’agit d’épingler le moment précis où l’on discerne la grâce ou la tentation. Parce que parfois les choses qui traversent notre imagination ne sont que des tentations qui nous détournent de notre véritable chemin. Ici, je dois me demander ce que cette personne me dit exactement, ce qu’elle veut me dire, ce qu’elle désire que je comprenne de ce qui se passe. Ce sont des questions qui aident à comprendre où s’enchainent les arguments qui meuvent l’autre et à sentir le poids et le rythme de ses affections influencées par cette logique. Cette écoute vise à discerner les paroles salvatrices du bon Esprit, qui nous propose la vérité du Seigneur, mais également les pièges du mauvais esprit – ses erreurs et ses séductions –. Il faut avoir le courage, la tendresse et la délicatesse nécessaires pour aider l’autre à reconnaître la vérité et les mensonges ou les prétextes.
294. La troisième sensibilité ou attention vise à écouter les impulsions que l’autre expérimente “en avant”. C’est l’écoute profonde de “ce vers quoi l’autre veut vraiment aller”. Au-delà de ce qu’il sent et pense dans le présent, de ce qu’il a fait dans le passé, l’attention vise ce qu’il voudrait être. Parfois cela implique que la personne ne regarde pas tant ce qui lui plaît, ses désirs superficiels, mais ce qui plaît plus au Seigneur, son projet pour sa propre vie qui s’exprime dans une inclination du cœur, au-delà de l’enveloppe des goûts et des sentiments. Cette écoute est attention à l’intention ultime, celle qui en définitive décide de la vie, parce qu’il existe Quelqu’un comme Jésus qui entend et évalue cette intention ultime du cœur. C’est pourquoi il est toujours disposé à aider chacun pour qu’il la reconnaisse, et pour cela il suffit que quelqu’un lui dise : “Seigneur, sauve-moi ! Aie pitié de moi !”.
295. Alors oui, le discernement devient un instrument de lutte pour mieux suivre le Seigneur.[161] De cette manière, le désir de reconnaître sa propre vocation acquiert une intensité suprême, une qualité différente et un niveau supérieur, qui répond beaucoup mieux à la dignité de sa propre vie. Parce qu’en définitive un bon discernement est un chemin de liberté qui fait apparaître ce que chaque personne a d’unique, ce qui est vraiment soi, vraiment personnel, que Dieu seul connaît. Les autres ne peuvent ni pleinement comprendre ni anticiper de l’extérieur comment cela se développera.
296. C’est pourquoi, quand on écoute l’autre de cette manière, à un moment donné, on doit disparaître pour le laisser poursuivre ce chemin qu’il a découvert. C’est disparaître comme le Seigneur disparaît à la vue de ses disciples et les laisse seuls avec la brûlure du cœur qui devient un élan irrésistible de se mettre en chemin. (cf. Lc 24, 31-33). Au retour dans la communauté, les disciples d’Emmaüs recevront la confirmation que vraiment le Seigneur est ressuscité (cf. Lc 24, 34).
297. Etant donné que « le temps est supérieur à l’espace »,[162] il est nécessaire de susciter et d’accompagner des processus, et non pas d’imposer des parcours. Et ce sont des processus de personnes qui sont toujours uniques et libres. C’est pourquoi il est difficile d’établir des règles, même lorsque tous les signes sont positifs, parce qu’« il importe de soumettre ces mêmes facteurs positifs à un discernement attentif, pour ne pas les isoler l’un de l’autre et ne pas les mettre en opposition entre eux, comme s’ils étaient des absolus en opposition. Il en est de même pour les facteurs négatifs : il ne faut pas les rejeter en bloc et sans distinction, parce qu’en chacun d’eux peut se cacher une valeur qui attend d’être libérée et rendue à sa vérité totale ».[163]
298. Mais pour accompagner les autres sur ce chemin, tu as d’abord besoin d’avoir l’habitude de le parcourir toi-même. Marie l’a fait, en affrontant ses questions et ses propres difficultés quand elle était très jeune. Qu’elle renouvelle ta jeunesse avec la force de sa prière et qu’elle t’accompagne toujours avec sa présence de Mère.
* * *
Et pour conclure… un désir
299. Chers jeunes, je serai heureux en vous voyant courir plus vite qu’en vous voyant lents et peureux. Courez, « attirés par ce Visage tant aimé, que nous adorons dans la sainte Eucharistie et que nous reconnaissons dans la chair de notre frère qui souffre. Que l’Esprit Saint vous pousse dans cette course en avant. L’Eglise a besoin de votre élan, de vos intuitions, de votre foi. Nous en avons besoin! Et quand vous arriverez là où nous ne sommes pas encore arrivés, ayez la patience de nous attendre ».[164]
Donné à Lorette, près du Sanctuaire de la Sainte Maison, le 25 mars, Solennité de l’Annonciation du Seigneur de l’année 2019, la septième de mon Pontificat.
FRANÇOIS
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[1] Le même mot grec traduit par ‘‘nouveau’’ est utilisé pour exprimer ‘‘jeune’’.
[2] Confessions, X, 27: PL 32, 795.
[3] Saint Irénée, Contre les hérésies, II, 22, 4: PG 7, 784.
[6] Document Final de la XVème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Évêques, n. 60. Par la suite, ce document sera désigné par le sigle DF. On peut le trouver sur
http://www.vatican.va/roman_curia/synod/documents/rc_synod_doc_20181027_doc-final-instrumentum-xvassemblea-giovani_fr.html[5] Catéchisme de l’Eglise catholique, n. 515.
[6] Ibid., n. 517.
[7] Catéchèse (27 juin 1990), 2-3: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 27 du 3 juillet 1990, p. 12.
[8] Exhort. ap. postsynodale Amoris laetitia (19 mars 2016), n. 182: AAS 108 (2016), 384.
[9] DF, n. 63.
[10] Conc. Œcum. Vat. II, Message aux jeunes (8 décembre 1965): AAS 58 (1966), 18.
[11] Ibid.
[12] DF, n. 1.
[13] Ibid., n. 8.
[14] Ibid., n. 50.
[15] Ibid., n. 53.
[16] Cf. Conc. Œcum. Vat. II, Const. dogm. Dei Verbum, sur la révélation divine, n. 8.
[17] DF, n. 150.
[18] Discours de la veillée des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (26 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 9.
[19] Prière à la fin du Chemin de Croix lors des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (25 janvier 2019):L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p.8.
[20] DF, n. 65.
[21] Ibíd., n. 167.
[22] Saint Jean-Paul II, Discours aux jeunes à Turin (13 avril 1980), 4: Insegnamenti 3, 1 (1980), 905.
[23] Benoît XVI, Message pour les XXVIIème Journées Mondiales de la Jeunesse (15 mars 2012): AAS 104 (2012), 359:L’Osservatore Romano, éd. française, n. 13 du 29 mars 2012, p. 4.
[24] DF, n. 8.
[25] Ibíd.
[26] Ibíd., n. 10.
[27] Ibíd., n. 11.
[28] Ibíd., n. 12.
[29] Ibíd., n. 41.
[30] Ibíd., n. 42.
[31] Discours aux jeunes à Manille (18 janvier 2015): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 4 du 22 janvier 2015, p. 14.
[32] DF, n. 34.
[33] Document de la Réunion pré-synodale pour la préparation de la XVème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques, Rome (24 mars 2018), I, 1.
[34] DF, n. 39.
[35] Ibíd., n. 37.
[36] Cf. Lett. enc. Laudato si’ (24 mai 2015), n. 106: AAS 107 (2015), 889-890.
[37] DF, n. 37.
[38] Ibíd., n. 67.
[39] Ibíd., n. 21.
[40] Ibíd., n. 22.
[41] Ibíd., n. 23.
[42] Ibíd., n. 24.
[43] Document de la Réunion pré-synodale pour la préparation de la XVème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques, Rome (24 mars 2018), I, 4.
[44] DF, n. 25.
[45] Ibíd.
[46] Ibíd., n. 26.
[47] Ibíd., n. 27.
[48] Ibíd., n. 28.
[49] Ibíd., n. 29.
[50] Discours à la fin de la rencontre sur “La protection des mineurs dans l’Eglise” (24 février 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 9 du 26 février 2019, p. 10.
[51] DF, n. 29.
[52] Lettre au Peuple de Dieu (20 août 2018), n. 2: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 34 du 23 août 2018, p. 6.
[53] DF, n. 30.
[54] Discours d’ouverture de la XVème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques, Rome (3 octobre 2018): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 41 du 11 octobre 2018, p. 9.
[55] DF, n. 31.
[56] Ibíd.
[57] Conc. Œcum. Vat. II, Const. past. Gaudium et spes, sur l’Eglise et le monde de ce temps, n. 1.
[58] DF, n. 31.
[59] Ibíd., n. 31.
[60] Discours lors de la rencontre “La protection des mineurs dans l’Eglise” (24 février 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 9 du 26 février 2019, p. 12.
[61] Francisco Luis Bernárdez, «Soneto», in Cielo de tierra, Buenos Aires 1937.
[62] Exhort. ap. Gaudete et exsultate (19 mars 2018), n. 140.
[63] Homélie de la Messe des XXXIème Journées Mondiales de la Jeunesse à Cracovie (31 juillet 2016): AAS 108 (2016), 923: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 32-33 du 11-18 août 2016, p. 12.
[64] Discours lors de la cérémonie d’ouverture des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama, (24 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 5 du 29 janvier 2019, p. 9.
[65] Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 1: AAS 105 (2013), 1019.
[66] Ibid., n. 3: AAS 105 (2013), 1020.
[67] Discours lors de la veillée avec les jeunes lors des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (26 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 10.
[68] Discours lors de la rencontre avec les jeunes au Synode, salle Paul VI (6 octobre 2018): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 41 du 11 octobre 2018, p. 7.
[69] Benoît XVI, Lett. enc. Deus caritas est (25 décembre 2005), n. 1: AAS 98 (2006), 217.
[70] Pedro Arrupe, Enamórate.
[71] Saint Paul VI, Allocution pour la béatification de Nunzio Sulpizio (1er décembre 1963): AAS 56 (1964), 28.
[72] DF, n. 65.
[73] Homélie de la messe avec les jeunes à Sydney (2 décembre 1970): AAS 63 (1971), 64.
[74] Confessions, I, 1, 1: PL 32, 661
[75] Dieu est jeune. Une conversation avec Thomas Leoncini, ed. Robert Lafont, Paris 2018, pp. 18-19.
[76] DF, n. 68.
[77] Rencontre avec les jeunes à Cagliari (22 septembre 2013): AAS 105 (2013), 904-905: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 39 du 26 septembre 2013, p. 6.
[78] Cinco panes y dos peces: un gozoso testimonio de fe desde el sufrimiento en la cárcel, México 1999, p. 21.
[79] Conférence des Evêques de Suisse, Prendre le temps: pour toi, pour moi, pour nous, 2 février 2018.
[80] Cf. Saint Thomas d’Aquin, Summa Theologicae II-II, q. 23, art. 1.
[81] Discours aux volontaires lors des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (27 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 16.
[82] Saint Oscar Romero, Homilía (6 novembre 1977): Su pensamiento, I-II, San Salvador 2000, 312.
[83] Discours lors de la cérémonie d’ouverture des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (24 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 5 du 29 janvier 2019, pp. 8-9.
[84] Cf. Rencontre avec les jeunes dans le Sanctuaire National de Maipú, Santiago du Chili (17 janvier 2018): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 4 du 25 janvier 2018, pp. 4-5.
[85] Cf. Romano Guardini, Le età della vita, in Opera omnia IV, 1, ed. Morcelliana, Brescia 2015, p. 209.
[86] Exhort. ap. Gaudete et exsultate (19 mars 2018), n. 11.
[87] Cantique Spirituel B, Prologue, n. 2.
[88] Ibid., XIV-XV, n. 2.
[89] Conférence épiscopale du Rwanda, Lettre des évêques catholiques aux fidèles pendant l’année spéciale de la réconciliation au Rwanda, Kigali (18 janvier 2018), n. 17.
[90] Salut aux jeunes du Centre Culturel Père Félix Varela à La Havane (20 septembre 2015): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 39 du 24 septembre 2015, p. 9.
[91] DF, n. 46.
[92] Discours de la veillée des XXVIIIèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Río de Janeiro (27 juillet 2013): AAS 105 (2013), 663: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 31 du 1 août 2013, p. 20.
[93] Ustedes son la luz del mundo, Discours au Cerro San Cristóbal, Chili, 1940:
https://www.padrealbertohurtado.cl/escritos-2/.[94] Homélie de la Messe des XXVIIIèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Río de Janeiro (28 juillet 2013): AAS 105 (2013), 665: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 31 du 1 août 2013, p. 12.
[95] Conférence épiscopale catholique de Corée, Pastoral Letter on the occasion of the 150th Anniversary of the Martyrdom during the Byeong-in Persecution (30 mars 2016).
[96] Cf. Homélie de la Messe des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (27 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 13.
[97] Prière “Seigneur,fais de moi un instrument de ta paix”, attribuée à Saint François d’Assise.
[98] Discours de la veillée avec les jeunes lors des XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (26 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, 6 du 5 février 2019, p. 10.
[99] DF, n. 14.
[100] Cf. Lett. enc. Laudato si’ (24 mai 2015): AAS 107 (2015), 906.
[101] Videomessage pour la Rencontre des Mondiale de la Jeunesse Indigène à Panama (17-21 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 4 du 22 janvier 2019, p. 16.
[102] DF, n. 35.
[103] Cf. Ad adolescentes, I, 2: PG 31, 566.
[104] Cf. La saggezza del tempo. In dialogo con Papa Francesco sulle grandi questioni della vita. A cura di Antonio Spadaro, Venezia 2018.
[105] Ibid., n. 12.
[106] Ibid., n. 13.
[107] Ibid.
[108] Ibid.
[109] Ibid., n. 162-163.
[110] Eduardo Pironio, Mensaje a los jóvenes argentinos en el Encuentro Nacional de Jóvenes en Córdoba (12-15 septembre 1985), n. 2.
[111] DF, n. 123.
[112] La esencia del cristianismo, ed. Cristiandad, Madrid 2002, p. 17.
[113] N. 165: AAS 105 (2013), 1089.
[114] Discours de la visite au Foyer du Bon Samaritain à Panama, (27 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 15.
[115] DF, n. 36.
[116] Cf. Const. ap. Veritatis Gaudium (8 décembre 2017), n. 4: AAS 110 (2018), 7.8.
[117] Discours de la rencontre avec les étudiants et le monde académique sur la place Saint Dominique de Bologne, (1 octobre 2017): AAS 109 (2017), 1115: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 41 du 12 octobre 2017, p. 10.
[118] DF, n. 51.
[119] Ibid., n. 47.
[120] Sermon 256, 3: PL 38, 1193.
[121] DF, n. 47.
[122] Discours à une délégation du “Special Olympics International” (16 février 2017): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 9 du 2 mars 2017, p. 8.
[123] Ad adolescentes, VIII, 11-12: PG 31, 580.
[124] Conférence Episcopale d’Argentine, Declaración de San Miguel, Buenos Aires, 1969, X, 1.
[125] Rafael Tello, La nueva evangelización, Tome II (Annexes I et II), Buenos Aires, 2013, 111.
[126] Cf. Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 44-45: AAS 105 (2013), 1038-1039.
[127] DF, n. 70.
[128] Ibid., n. 117.
[129] Ibid., n. 4.
[130] Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 124: AAS 105 (2013), 1072.
[131] Ibid., n. 122: AAS 105 (2013), 1071.
[132] DF, n. 9.
[133] Document de la Réunion pré-synodale pour la préparation de la XVème Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Évêques, Rome (24 mars 2018).
[134] Ibid.
[135] DF, n. 15.
[136] N. 2.
[137] Const. dogm. Lumen gentium, sur l’Eglise, n. 11.
[138] Discours de la Veillée avec les jeunes aux XXXIVèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Panama (26 janvier 2019): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 6 du 5 février 2019, p. 9.
[139] Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 273: AAS 105 (2013), 1130.
[140] Saint Paul VI, Lett. enc. Populorum progressio (26 mars 1967), n. 15: AAS 59 (1967), 265.
[141] Meditación de Semana Santa para jóvenes, écrite à bord d’un cargo, de retour des Etats-Unis, 1946, en :
http://www.padrealbertohurtado.cl/escritos-2/[142] Rencontre avec les jeunes d’Ombrie à Assise (4 octobre 2013): AAS 105 (2013), 921. L’Osservatore Romano, éd. française, n. 41 du 10 octobre 2013, p. 12.
[143] Exhort. ap. postsynodale Amoris laetitia (19 mars 2016), n. 150: AAS 108 (2016), 369.
[144] Audience aux jeunes du Diocèse de Grenoble-Vienne (17 septembre 2018): L’Osservatore Romano, 19 septembre 2018, p. 8.
[145] DF, n. 32.
[146] Rencontre avec les volontaires des XXVIIIèmes Journées Mondiales de la Jeunesse à Río de Janeiro (28 juillet 2013): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 31 du 1 août 2013, p. 20.
[147] Conférence épiscopale de Colombie, Mensaje Cristiano sobre el matrimonio (14 mai 1981).
[148] Conférence des évêques Catholiques des états-Unis, Sons and Daughters of Light: A Pastoral Plan for Ministry with Young Adult, November 12, 1996, Part one, 3.
[149] Lett. enc. Laudato si’ (24 mai 2015), n. 128: AAS 107 (2015), 898.
[150] Ibíd., n. 125: AAS 107 (2015), 897.
[151] DF, n. 40.
[152] Exhort. ap. Gaudete et exsultate (19 mars 2018), n. 167.
[153] Ibid., n. 168.
[154] Ibid., n. 170.
[155] DF, n. 108.
[156] Ibid.
[157] Exhort. ap. Gaudete et exsultate (19 mars 2018), n. 171.
[158] Ibid., n. 172.
[159] Discours de la veillée de prière en préparation des XXXIV Journées Mondiales de la Jeunesse, Basilique de Sainte Marie Majeure, (8 avril 2017): AAS 109 (2017), 447: L’Osservatore Romano, éd. française, n. 15 du 13 avril 2017, p. 6.
[160] Romano Guardini, Le età della vita, in Opera omnia IV, 1, éd. Morcelliana, Brescia 2015, 209.
[161] Cf. Exhort. ap. Gaudete et exsultate (19 mars 2018), n. 169.
[162] Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 222: AAS 105 (2013), 1111.
[163] Saint Jean-Paul II, Exhort. ap. postsynodale. Pastores dabo Vobis (25 mars 1992), n. 10: AAS 84 (1992), 672.
[164] Rencontre et prière avec les jeunes italiens au Cirque Massimo de Rome (11 août 2018): L’Osservatore Romano, éd. française, n. 34 du 23 août 2018, p. 8.
[00556-FR.01] [Texte original: Espagnol]
(c) Librairie éditrice du Vatican
avril 02, 2019 12:41Pape François