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 Homélie à Ste Marthe : Dieu nous aime et souffre de l'infidélité de son peuple

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Homélie à Ste Marthe : Dieu nous aime et souffre de l'infidélité de son peuple Empty
MessageSujet: Homélie à Ste Marthe : Dieu nous aime et souffre de l'infidélité de son peuple   Homélie à Ste Marthe : Dieu nous aime et souffre de l'infidélité de son peuple Icon_minitimeVen 18 Nov 2016 - 17:30

Homélie à Ste Marthe : Dieu nous aime et souffre de l'infidélité de son peuple OSSROM137237_Articolo


L’amour «fou» de Dieu pour son peuple et notre infidélité : c’est autour de ces deux pôles que s’est articulée l’homélie du Pape lors de la messe matinale à la Maison Sainte-Marthe. Un drame qui fait pleurer Jésus devant Jérusalem, qui n’a pas reconnu le temps dans lequel la ville a été visitée par Dieu.

Jésus pleure car il se souvient de l’histoire de son peuple, avec d’un côté cet amour de Dieu «sans mesures» et de l’autre «la réponse du peuple égoïste, défiant, adultère, idolâtre». Un «amour fou de Dieu pour son peuple», a déclaré François, «pourrait sembler un blasphème mais ne l’est pas». Le Pape a fait référence aux passages du Livre des prophètes, comme Osée et Jérémie, quand ils expriment l’amour de Dieu pour Israël. Toujours dans l’Évangile du jour, Jésus pleure aussi devant Jérusalem qui n'a pas reconnu le temps durant laquelle elle a été visitée.

«C’est cela qui fait souffrir le cœur de Jésus-Christ, cette histoire d’infidélité, cette histoire de ne pas reconnaître les caresses de Dieu, l’amour de Dieu, d’un Dieu amoureux qui te cherche, qui veut que toi aussi, tu sois heureux. Jésus a vu à ce moment ce qui l’attendait comme Fils. Et il a pleuré, parce que ce peuple n’a pas reconnu le temps dans lequel il a été visité. Ce drame n’est pas arrivé seulement dans l’histoire, et ne s’est pas fini avec Jésus. C’est le drame de tous les jours. Et aussi mon drame. Chacun de nous peut dire : “Est-ce que je sais reconnaître le temps dans lequel j’ai été visité ? Dieu me visite ?"»

Le Pape a souligné que. mardi, la liturgie faisait réfléchir sur trois moments de la visite de Dieu : pour corriger, pour entrer en dialogue avec nous, et «pour s’inviter à notre maison». Quand Dieu veut corriger, il nous invite à changer de vie. Quand il veut parler avec nous il nous dit : «Je frappe à la porte et j’appelle. Ouvre-moi.» Et à Zachée, pour se faire inviter à la maison, il dit de descendre. François demande donc de se demander comment va notre cœur, de «faire un examen de conscience, de se demander si je sais écouter les paroles de Jésus quand il frappe à ma porte».

«Chacun de nous peut tomber dans le même péché du peuple d’Israël, dans le même péché que Jérusalem : ne pas reconnaître le temps dans lequel nous avons été visités. Et chaque jour, le Seigneur nous rend visite, chaque jour il frappe à notre porte. Mais nous devons essayer de reconnaître cela, pour ne pas finir dans cette situation si douloureuse : "Plus je l’aimais, plus il s’éloignait de moi…"»

Le Pape a donc rappelé qu’il était central de reconnaître quand nous sommes «visités» par Jésus, pour nous ouvrir à l’amour. «Jésus n’a pas seulement pleuré pour Jérusalem, mais pour nous tous. Et il donne sa vie pour que nous reconnaissions sa visite. Saint Augustin disait une parole, une phrase très forte : "J’ai peur de Dieu, de Jésus, quand il passe !" "Mais pourquoi as-tu peur ?" "J’ai peur de ne pas le reconnaître."»

«Si tu n’es pas attentif à ton cœur, tu ne sauras jamais si Jésus est en train de te visiter ou non, a conclu le Saint-Père. Que le Seigneur nous donne, à nous tous, la grâce de reconnaître le temps dans lequel nous avons été visités, sommes visités, et serons visités, pour ouvrir la porte à Jésus, et ainsi faire en sorte que notre cœur soit plus large dans l’amour, et serve dans l’amour le Seigneur Jésus.»
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Source : http://fr.radiovaticana.va/
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