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 De retour de Suède, dans l'avion, le Pape parle de l’accueil des migrants ou de sécularisation

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De retour de Suède, dans l'avion, le Pape parle de l’accueil des migrants ou de sécularisation Empty
MessageSujet: De retour de Suède, dans l'avion, le Pape parle de l’accueil des migrants ou de sécularisation   De retour de Suède, dans l'avion, le Pape parle de l’accueil des migrants ou de sécularisation Icon_minitimeMer 2 Nov 2016 - 9:59

De retour de Suède, dans l'avion, le Pape parle de l’accueil des migrants ou de sécularisation REUTERS1797611_Articolo



De retour de Suède, le Pape a répondu aux questions des journalistes qui étaient avec lui à bord de l’avion qui le ramenait vers Rome. Plusieurs thèmes ont été abordés lors de cet exercice traditionnel au terme de chaque voyage apostolique à l’étranger : l’accueil des migrants dans une Europe qui a peur, les causes de la sécularisation, ou encore les motivations du Pape à combattre l’esclavage.

L’accueil des migrants

"Tout d’abord, comme Argentin et Sud-américain je remercie infiniment la Suède de cet accueil, car tant d’Argentins, Chiliens, Uruguayens, à l’époque des dictatures militaires ont été accueillis en Suède. La Suède a une longue tradition d’accueil. Il ne s’agissait pas seulement d’accueil mais d’intégration, de leur chercher tout de suite un toit, une école, du travail … de les intégrer dans le peuple. On m’a donné des chiffres – je pourrais me tromper mais ce dont je me souviens – mais je peux me tromper – combien d’habitants en Suède ? Neuf millions ? Parmi ces 9 millions – m’a-t-on dit – 850 000 seraient de « nouveaux suédois », autrement dit des migrants ou des réfugiés, ou bien leurs enfants. Deuxièmement on doit faire la distinction entre le migrant et le réfugié, n’est-ce pas ? Le migrant est soumis à certaines règles car migrer est un droit mais un droit avec beaucoup de règles. Par contre, le réfugié provient d’une situation de guerre, d’angoisse, de faim, d’une situation terrible, et son statut demande plus d’attention, plus de travail. Là aussi, la Suède a toujours été un exemple pour les installer, leur faire apprendre la langue, la culture, et les intégrer dans la culture. Cette histoire d’intégration ne doit pas nous faire peur. Car l’Europe ne s’est-elle pas créée en intégrant les cultures, tant de cultures ? Je crois que – et je ne veux offenser personne en disant cela: non, non, non, personne ! Mais je le dis comme étant une curiosité – le fait qu’aujourd’hui en Islande, l’Islandais – de langue islandaise – soit capable de lire des œuvres classiques qui remontent à un millier d’années, signifie que c’est un pays qui a connu peu de migrations ou quelques vagues seulement, contrairement à l’Europe, faite de migrations."

" Que penser des pays qui ferment leurs frontières ? Je crois qu’en théorie on ne peut fermer notre cœur à un réfugié. Mais les gouvernants doivent être prudents: ils doivent être très ouverts, prêts à les accueillir, mais également faire des calculs pour les installer, car il ne s’agit pas seulement de recevoir un réfugié, il faut l’intégrer. Et si un pays a la capacité pour – disons – intégrer 20 personnes, qu’il le fasse pour vingt, mais qu’il le fasse ! Un autre pays davantage ? Alors qu’il fasse plus. Mais le cœur toujours ouvert : fermer les portes, fermer son cœur, est inhumain, et on finit par le payer un jour. Ici, on le paie politiquement, n’est-ce pas ? La politique peut faire les frais d’une imprudence, dans ses calculs, en recevant plus de personnes qu’il n’est possible d’intégrer. Car, quel est le danger quand le réfugié ou le migrant – cela vaut pour tous les deux – n’est pas intégré ? Oui – permettez-moi ce mot – un néologisme peut-être – on le ghettoïse, il entre dans un ghetto. Et une culture qui ne se développe pas au contact d’une autre culture, c’est dangereux. Je pense que la peur est la pire des conseillères pour les pays qui tendent à fermer leurs frontières, et la prudence la meilleure conseillère."

" J’ai parlé avec un fonctionnaire du gouvernement suédois, ces jours-ci, et il me parlait de leurs difficultés – c’est ma réponse à ta dernière question – des difficultés dues au nombre important de personnes qui arrivent, si importants qu’ils n’ont pas le temps de les installer, de leur trouver une école, une maison, du travail, leur fait apprendre la langue. Etre prudent, c’est calculer tout ça. Mais la Suède est … je ne crois pas que si la Suède diminue sa capacité d’accueil c’est par égoïsme ou parce qu’elle a perdu cette capacité ; s’il y a quelque chose de ce genre, c’est pour la dernière raison que je viens de dire: il y a beaucoup de personnes qui regardent la Suède car elles ont connaissance de son accueil, mais il n’y a pas assez de temps pour les installer tous. Je ne sais pas si j’ai répondu. Merci."

Mes initiatives de rencontre avec les chrétiens évangéliques et sur la célébration des 50 ans du Renouveau charismatique, à la Pentecôte 2017, à Rome :

" Ces initiatives … Je dirais qu’il y en a eu de deux sortes. Une quand je suis allé trouver, à Caserta, l’Eglise évangélique, et à Turin, dans la même optique, l’Eglise vaudoise. Une initiative de réparation et de demande de pardon car les catholiques … une partie: une partie de l’Eglise catholique ne se comporte pas chrétiennement à leur égard. Et là il fallait demander pardon et refermer une plaie.

L’autre initiative fut une initiative de dialogue, et cela déjà à Buenos Aires, par exemple, où nous avons fait trois rencontres au Luna Park, qui peut contenir 7 000 personnes. Trois rencontres réunissant des fidèles évangéliques et catholiques en ligne avec le Renouveau charismatique, mais également ouvertes : prêchaient un pasteur, un évêque protestant et un prêtre ou un évêque catholique; ou bien ils s’alternaient deux par deux. Le père Cantalamessa, qui est le prédicateur de la Maison pontificale, a prêché au cours de ces rencontres, peut-être pas à toutes, mais à deux j’en suis sûr !

Je crois que cela vient des pontificats précédents, et depuis que j’étais à Buenos Aires, et cela nous a fait du bien. Et nous avons fait aussi des retraites spirituelles de trois jours avec des pasteurs et prêtres ensemble, prêchées par des pasteurs et par un prêtre ou bien un évêque. Et cela a bien aidé le dialogue, la compréhension, le rapprochement, le travail … surtout le travail avec les plus nécessiteux. Ensemble. Et le respect, le grand respect. Ceci concernant les initiatives que je connaissais déjà du temps de Buenos Aires … et celle-ci maintenant… Ici à Rome j’ai eu plusieurs rencontres avec des pasteurs … deux ou trois déjà. Certains sont venus des Etats-Unis et de là-bas, d’Europe.

Et ce dont vous parlez est la célébration qu’organise l’ICCRS (International catholic charismatic renewal services, ndlr), la célébration pour les 50 ans du Renouveau Charismatique, qui est né « œcuménique », et sera donc une célébration œcuménique. Elle se tiendra au Circo Massimo. Je prévois – si Dieu le veut – d’y venir parler. Je crois qu’elle durera deux jours, mais ce n’est pas encore organisé. Je sais qu’elle se tiendra à la veille de la Pentecôte et que je prendrai la parole. A propos du Renouveau Charismatique et à propos des Pentecôtistes : le mot « pentecôtiste », cette appellation, est aujourd’hui ambiguë, car elle renvoie à tant de choses différentes, voire même opposées. Alors, il nous faut être plus précis, n’est-ce pas? Autrement dit, ce terme est devenu si répandu qu’il est aujourd’hui ambigu. Au Brésil, c’est typique, là où il s’est beaucoup répandu.

Quand le Renouveau Charismatique est né en Argentine, je fus parmi les premiers à s’y être opposé. J’étais provincial des Jésuites à l’époque, et j’avais interdit aux jésuites d’établir une quelconque relation avec eux. J’avais dit publiquement qu’il fallait faire une chose liturgique et pas une « école de samba ». C’est ce que j’avais dit. Et aujourd’hui je pense le contraire, quand les choses sont bien faites.

A Buenos Aires, tous les ans, une fois par an, nous avions dans la cathédrale une Messe du mouvement, à laquelle tout le monde venait. C’est-à-dire que moi aussi j’ai vécu une transformation, reconnaissant ce qu’il y avait de bon pour l’Eglise dans le Renouveau Charismatique. N’oublions pas la grande figure du cardinal Suenens, qui a eu cette vision prophétique et œcuménique ".


Les femmes dans l’Église

" Après avoir lu un peu d’histoire sur les lieux où nous sommes allés, j’ai vu qu’il y avait une reine qui était devenue trois fois veuve … et je me suis dit: « mais, cette femme est forte! ». Et on m’a dit: « les femmes en Suède sont si fortes, si douées, que l’homme cherche une femme d’une autre nationalité » : je ne sais pas si c’est vrai, mais … Sur l’ordination de femmes dans l’Eglise catholique, saint Jean-Paul a eu le dernier mot, il a été clair. Et cela reste comme ça. Sur la compétition, je ne sais pas …

Si nous lisons bien la déclaration de saint Jean-Paul II, cela va dans ce sens. Oui, mais les femmes peuvent faire tant de choses, mieux que les hommes. En dogmatique aussi: pour être plus clair, dans l’ecclésiologie catholique il y a deux dimensions. La dimension pétrinienne, qui est celle des apôtres – Pierre et le collège apostolique, qui est la pastorale des évêques – et la dimension mariale qui est la dimension féminine de l’Eglise.

Et je l’ai dit ici plus d’une fois. Je me demande ce qui est plus important dans la théologie et la mystique de l’Eglise: les apôtres ou Marie, le jour de la Pentecôte ? C’est Marie ! Plus encore: l’Eglise est « femme » ! Le mot « Eglise » n’est pas un mot masculin mais féminin. L’Eglise épouse Jésus-Christ. C’est un mystère nuptial. Et à la lumière de ce mystère on comprend le pourquoi de ces deux dimensions: la dimension pétrinienne, autrement dit épiscopale, et la dimension mariale, avec tout ce qui fait la dimension maternelle de l’Eglise, mais dans un sens plus profond. Il n’existe pas d’Eglise sans cette dimension féminine, car elle est elle-même femme, mère et épouse".

Une rencontre avec Nicolas Maduro, Président du Venezuela

" Oui, le président vénézuélien a demandé un entretien et un rendez-vous parce qu’il venait du Moyen Orient, du Qatar, des autres Emirats et faisait une escale technique à Rome. Il avait demandé une rencontre auparavant. Il est venu en 2013, puis avait demandé un autre rendez-vous, mais il est tombé malade et n’a pas pu venir, et il a donc demandé cet autre rendez-vous. Quand un président le demande, on le reçoit, en plus il était à Rome, pour une escale. Je l’ai écouté. Le rendez-vous a duré une demi-heure, je l’ai écouté, lui ai posé quelques questions et j’ai écouté ce qu’il avait à dire. Il convient toujours d’écouter tous les avis. J’ai écouté son opinion ".

" Concernant le deuxième point, le dialogue. N’est-ce pas la seule voie pour tous les conflits ? Pour tous les conflits ! Ou l’on dialogue ou l’on se crie dessus, il n’y a pas d’autre voie. Moi, je mise de tout cœur sur le dialogue et je crois que c’est la voie à prendre. J’ignore comment cela finira, je ne sais pas pourquoi c’est si compliqué mais les personnes qui sont engagées dans ce dialogue sont des personnalités de grande envergure politique: Zapatero, qui a été deux fois président du gouvernement espagnol, et l’autre, M. Restrepo, ont demandé au Saint-Siège d’être présents au dialogue, les deux parties. Et le Saint-Siège a désigné le nonce apostolique en Argentine, Mgr Tscherrig, qui je crois est là-bas, à la table des négociations. Mais le dialogue qui favorise les négociations est la seule voie pour sortir des conflits, il n’y en a pas d’autres … Si le Moyen Orient en faisait autant, combien de vies seraient épargnées " !

Question d'une journaliste française sur la sécularisation :
« est-elle une fatalité ?. Qui sont les responsables, les gouvernements laïcs ou l’Église qui serait trop timide ? »

" Fatalité, non, je ne crois pas à la fatalité ! Qui sont les responsables ? Je ne saurais le dire… Tu [i.e. chacun] es responsable… Je ne sais pas, c’est un processus… Mais avant cela, je veux dire quelque chose. Le pape Benoît XVI a beaucoup parlé de cela et clairement. Quand la foi devient tiède c’est parce que, comme vous le dites, l’Église s’affaiblit… Les temps plus sécularisés… Mais pensons à la France, par exemple, les temps de la mondanisation de la Cour : les temps où les prêtres étaient des abbés de Cour, un fonctionnalisme clérical… Mais il manquait la force de l’évangélisation, la force de l’Évangile. Toujours, quand il y a sécularisation, nous pouvons dire qu’il y a quelque faiblesse dans l’évangélisation, ceci est vrai… Mais aussi, il y a un autre processus, un processus culturel, un processus – je crois que j’en ai parlé une fois – de la seconde forme d’ « inculture », quand l’homme reçoit le monde de Dieu et pour en faire une culture, pour le faire croître, le dominer, à un certain point l’homme se sent tellement maître de cette culture – pensons au mythe de la Tour de Babel – il est tellement maître de cette culture qu’il commence à se faire le créateur d’une autre culture, mais la sienne, et il occupe la place de Dieu créateur. Et dans la sécularisation, je crois que tôt ou tard on arrive au péché contre le Dieu créateur. L’homme autosuffisant. Ce n’est pas un problème de laïcité, parce qu’il faut une saine laïcité, qui est l’autonomie des choses, une saine autonomie des choses, une saine autonomie des sciences, de la pensée, de la politique, il faut une saine laïcité. Non, autre chose est un laïcisme plutôt comme celui que nous ont laissé les Lumières en héritage.

Je crois que ce sont ces deux choses : un peu l’autosuffisance de l’homme créateur de culture, mais qui va au-delà des limites et qui se sent Dieu, et un peu aussi une faiblesse dans l’évangélisation, qui devient tiède et les chrétiens sont tièdes. Là, cela nous sauve un peu de reprendre une saine autonomie dans le développement de la culture et des sciences, avec aussi le sens de la dépendance, du fait que l’on est créature et non Dieu ; et en outre reprendre la force de l’évangélisation. Aujourd’hui, je crois que cette sécularisation est très forte dans la culture et dans certaines cultures. Elle est aussi très forte sous différentes formes de mondanité, la mondanité spirituelle. Quand la mondanité spirituelle entre dans l’Église, c’est le pire. Les paroles que je vais dire maintenant ne sont pas les miennes, elles sont du cardinal de Lubac, un des grands théologiens du Concile [Vatican II]. Il dit que quand la mondanité spirituelle entre dans l’Église, c’est une façon… c’est la chose la pire qui puisse lui arriver, pire encore que ce qui s’est produit à l’époque des papes corrompus. Et il mentionne différentes formes de corruption des papes, je ne me souviens pas bien, mais elles sont nombreuses. La mondanité. Pour moi, ceci est dangereux. Et, au risque de faire passer cela pour un sermon, une homélie, je dirais ceci : Quand Jésus prie pour nous tous, à la dernière Cène, il demande une chose au Père pour nous tous : de ne pas nous retirer du monde, mais de nous protéger du monde, de la mondanité. C’est très dangereux, c’est une sécularisation un peu maquillée, un peu déguisée, un peu « prêt-à-porter », dans la vie de l’Église. Je ne sais pas si j’ai répondu quelque chose…"

Un journaliste lui a demandé la raison de son engagement dans la lutte contre l’esclavage moderne, avec notamment le « Groupe Sainte-Marthe » lancé en 2014 au Vatican. Il a également demandé au pape s’il envisageait de se rendre en Allemagne en 2017, pour les 500 ans de la Réforme protestante :

Je commence par la seconde. Le programme des voyages de l’an prochain n’est pas fait. Si, on sait seulement, il est quasiment sûr que j’irai en Inde et au Bengladesh, mais il n’a pas été fait, c’est une hypothèse.

Au sujet de la première question. Oui, depuis longtemps, depuis Buenos Aires, depuis que je suis prêtre, j’ai toujours eu cette inquiétude pour la chair du Christ. Le fait que le Christ continue de souffrir, que le Christ soit continuellement crucifié dans ses frères les plus faibles, m’a toujours ému. J’ai travaillé, en tant que prêtre, des petites choses avec les pauvres, mais pas exclusivement, je travaillais aussi avec des universitaires… Puis, comme évêque, à Buenos Aires, nous avons eu [des initiatives], y compris avec des groupes non catholiques et non croyants, contre le travail d’esclave, surtout des migrants latino-américains qui arrivaient en Argentine, qui arrivent. On leur prend leur passeport et on leur fait faire un travail d’esclave dans les industries, mais enfermés à l’intérieur… Une fois, il y a eu un incendie et ils avaient les enfants, là, sur la terrasse, tous morts, y compris certains qui n’ont pas pu s’enfuir… Vraiment des esclaves et cela m’a ému. La traite des personnes. Et j’ai aussi travaillé avec deux congrégations de sœurs qui travaillaient avec les prostituées, les femmes esclaves de la prostitution. Je n’aime pas dire « prostituées » : esclaves de la prostitution. Et puis, une fois par an, tous ces esclaves du système avaient une messe sur la Place de la Constitution qui est une de celles où arrivent les trains – comme à Termini, pense à Termini – et là, on célébrait la messe pour tous. Venaient à cette messe toutes les organisations, les sœurs qui travaillaient et aussi les groupes de non croyants, mais avec lesquels nous travaillions.

Et ici, on travaille de même. Ici, en Italie, il existe beaucoup de groupes de bénévoles qui travaillent contre cette forme d’esclavage, que ce soit par le travail ou celui des femmes. Il y a quelques mois, j’ai visité une de ces organisations et les gens… Ici, en Italie, on travaille bien dans le bénévolat. Je n’aurais jamais pensé que c’était ainsi. C’est quelque chose de beau qu’a l’Italie, le bénévolat. Et ceci est dû aux curés de paroisse. L’ « oratoire » et le bénévolat sont deux choses qui sont nées du zèle apostolique des curés italiens. Mais je ne sais pas si j’ai répondu ou…
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Source : http://fr.radiovaticana.va/
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